« […] les enquêteurs eurent les plus grandes difficultés à appréhender la chaîne des événements qui avait conduit quatre personnes à s’entretuer et un célèbre chef d’orchestre à se retrouver attaché nu et mort à un arbre. »

En toute honnêteté, j’ai les mêmes difficultés.

A-bra-ca-da-bran-tesque. Prenez « Glacé » – Bernard Minier et « Le cercle » – Bernard Minier, mélangez très fort, ajoutez un tas de personnages, pressez, filtrez et il vous reste… bin, comme d’habitude : Servaz le flic et Hirtmann le frapadingue. Avec en prime Gustav, qu’il va bien falloir intégrer à cette petite famille.

En plus c’est cool, parce qu’on sait qu’il va y avoir encore un volume, la saga continue : le dernier paragraphe de l’épilogue nous donne des nouvelles de Marianne !

Au final, on a une histoire qui sent le réchauffé, un scénario aussi improbable que long et lassant, des personnages secondaires sans intérêt. Le style aurait sauvé l’ensemble s’il ne s’était perdu en digressions ou en références aux ouvrages précédents.

Bon voilà, je n’ai pas su apprécier, à vous de juger…