Tout semble paisible à B Movie Hell, 3672 âmes.

Anonyme remet ça. Et on le connaît, anonyme, ça ne reste jamais calme longtemps. Enfin un bouquin que j’ai lu pour le strict plaisir d’aligner des mots et des phrases, des scènes surréalistes, sans avoir à me rappeler qui est quoi, pourquoi on est là, quel était le message sous-jacent de la page précédente…

Pour les non anglicistes, « B Movie Hell » est le nom du patelin et se traduit par « L’enfer d’un film de série B ». Ça place tout de suite le contexte, et tout le reste en découle très logiquement, sous forme d’agents du FBI spécialistes des missions clandestines, d’un iroquois un peu tueur, d’un bordel notoire, dans tous les sens du terme, …

Allez, je vous livre un extrait de poésie…

« Je suis au petit coin, j’en ai pour une seconde ! » cria-t-il. Après une demi-heure d’efforts acharnés sans sortir la moindre crotte, le stress soudain de savoir qu’il était attendu détendit un peu son estomac, mais ce ne fut que pour libérer quelques vents prisonniers. Des pets si bruyants que si le nouveau client qui l’attendait dans son bureau avait répondu à son annonce, Hank ne l’aurait certainement pas entendu.