C’est un cocktail étonnant que je vous apporte aujourd’hui. On y trouve pêle-mêle : Valmont –une intelligence artificielle bien pratique, des symbioses entre des plantes et des champignons parasites, des rituels africains, des réseaux de pédophilie et des tas de gens plus ou moins gentils : le fil conducteur du scénario hoche de droite et de gauche pour assembler l’ensemble en une enquête policière qui n’aurait pas existé sans Valmont.

Le style est sympa, dynamique et enlevé tandis que les personnages principaux –les flics qui exploitent l’IA– sont attachants : on a tous les ingrédients pour passer un bon moment.

Le mélange entre l’IA, les plantes tueuses et l’enquête policière est un peu artificiel et manque de liant. La lisibilité et l’intérêt de l’histoire en pâtissent un peu.