Dans ses romans, Giebel frappe aux tripes avec des histoires d’amour qui finissent mal, en général. Ici, on retrouve bien sûr cette trame scénaristique qui la caractérise.

Dans ce livre, l’effet ravageur est amplifié par un ascenseur émotionnel violent qui nous entraîne des tréfonds de la souffrance à la naissance d’un amour, par un courage nu face à des personnages malfaisants et cruels, par une volte-face en milieu de bouquin où chacun n’est pas qui on croit.

Et, comme si c’était jour de promo sur les émotions, ce n’est plus un, mais deux couples qui prennent cher dans une histoire unique.

Commencer ce bouquin, c’est s’engager à souffrir d’une traite pendant 750 pages…