Alors nous tenons là un bouquin qui, comme beaucoup de bouquins suédois, est noir, sombre et gris. Mes lectures ne me donnent pas envie de visiter la Suède.

Mais en plus, comme dans l’extrait en exergue, l’enquête est quasiment monosyllabique. Qu’ils soient psychiatres ou flics, les personnages en disent littéralement le minimum.

Ce qui au final m’a amené à le lire au minimum : j’ai lâché l’affaire à la page 160.

Traduit du suédois par Rémi Cassaigne