C’est bien écrit, c’est propre, rien à redire. Sauf que l’histoire d’une révolutionnaire, d’une part, et d’un journaliste, d’autre part n’ont pas réussi à me passionner. La promesse alléchante de savoir pourquoi une bombe a explosé dans ce bureau banal s’estompe derrière l’histoire de leurs vies, et leurs vie, bah… ok, quoi…

Ils m’ont perdu à la page 128.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Edit Soonckindt