Prenez un enleveur d’enfants en série. Ajoutez un flic désabusé et meurtri dans sa vie. Mélangez avec une flique qui a fait des grosses bêtises –et parfaitement capable de recommencer.

Placez tout ça dans un style sans digression, actif et dynamique : vous obtenez une intrigue assez conventionnelle dans un scénario avec de l’action, des larmes et des yeux rouges de fatigue, de la sueur mais pas de sang…

On comprend très vite qui est le vilain, mais pas les flics : ça laisse la place à une traque de longue haleine…

Traduit de l’anglais par Jacques-Hubert Martinez