Une discussion avec un bébé in-utero ne laisse guère de place aux dialogues et c’est donc en haut d’un monologue qu’on s’engageen ouvrant ce bouquin.

Un monologue comme un teaser qui n’aboutit pas, qui tourne en rond autour de cette blonde bloquée dans son chalet. Arrivé au chapitre 4, j’ai commencé à douter. J’ai survolé quelques pages pour voir si ça bougeait, puis ouvert des passages au hasard au milieu, à la fin. Toujours le même ton linéaire, comme total shooté, qui raconte toujours des trucs inintéressants.

C’est un mauvais score : 83 pages lues sur 425.

Traduit de l’anglais (Canada) par Éric Fontaine.