Ce bouquin s’est glissé entre la page 440 et la page 441 de celui que j’avais déjà en cours. C’est vous dire s’il se lit facilement !

Il faut dire qu’il ne faut que quelques pages pour se rappeler qu’on est dans un Giebel et pour comprendre qu’on est dans la tête d’une fille moyennement bien dans sa tête, et que l’auteure va lui faire subir des trucs qui ne vont pas arranger ladite tête…

En relisant la bio de Giebel, on se souvient que Terminus Elicius est son premier roman. Et on comprend alors pourquoi son effet paraît timoré, et à quel point l’auteure a affûté ses ambiances glaçantes jusqu’à obtenir « Meurtres pour rédemption » – Karine Giébel.

Toujours est-il que tous les ingrédients d’une bonne petite folie personnelle, pas bien méchante si elle n’était quelque peu mortifère, sont réunis ici. Et même le dévoilement, s’il n’est pas spécialement épicé, reste une explication inattendue à l’ensemble des événements…