Antoine Lagarde déteste ce genre de cliché, mais il faut l’admettre : même dans ce bouquin, les clichés ont la vie dure.

Ce père-qui-gisait-dans-sa-mare-de-sang, il va nous suivre tout au long du bouquin, pour s’effacer progressivement derrière une enquête qui ne grandira pas sa mémoire.

Qui va céder le pas à une autre histoire, non dite et tragique.

Le style à la première personne est dynamique et agréable. Il sert une intrigue bien montée, avec des révélations crescendo et une fin qui m’a laissé perplexe : l’impression d’avoir loupé un truc.

Un bouquin agréable et perplexe, donc…