Bien qu’ayant beaucoup entendu parler d’Amélie Nothomb, c’est mon premier. Mais peut-être pas mon dernier ! C’est bien simple, c’est à lire d’une traite. D’une part il n’est pas particulièrement épais (120 pages de gros caractères), mais surtout c’est un dialogue ininterrompu qui nous emmène subrepticement d’un point A à un point final. Et c’est succulent de rhétorique et de mauvaise foi, de raisonnement et de mensonge…
« Cosmétique de l’ennemi » – Amélie Nothomb
« Comment aurais-je pu le savoir, avant, que ça ne me plairait pas de la tuer ? Pour savoir si l’on aime ou non telle ou telle chose, encore faut-il avoir essayé. »