Nous avons là un polar qui ne m’a guère laissé d’impressions : il parle de quoi, déjà ? Ah oui, le « tueur diabolique » manipulateur hors pair que traquent l’inspectrice Carol Jordan et le profileur Tony Hill, à moitié son mec (du moins au début de l’histoire). La fin de la traque est rigolote. Mais sinon, il ne faut rien chercher d’autre dans ce bouquin qu’un style plutôt neutre et une histoire transversale qui a pour seul rôle d’occuper les équipes de flics…

En relisant « Sans laisser de traces » – Val McDermid, je m’aperçois que celui-ci est exactement dans ce « style commercial » que j’y évoquais.