À peine seize ans, cette gamine retrouvée nue, étranglée près du cimetière… Et ces pervers qui s’exhibent entre les tombes… Et ce fumier qui croit séquestrer l’innocence qu’il a perdue…

Ça fait plusieurs années que je lis le lauréat du Prix #Quai des orfèvres, avec des avis somme toute assez constants d’une année à l’autre. « Le crime était signé » est tout à fait conforme à ses prédécesseurs, notamment par son indispensable lexique du policier avec explications de texte.

L’intrigue est faible mais m’a néanmoins efficacement tenu en haleine. Elle est desservie par un style que je n’ai pas su apprécier.