Traduit de l’anglais (US) par Carine Chichereau.

En voilà un que j’ai dé-vo-ré. Un extrait de la 4° de couverture en dévoile juste suffisamment pour que je m’étende pas sur la thématique, que j’ai trouvée tout à fait intéressante.

New York, mai 2009. Une série de décès inexplicables fait les gros titres. Rien ne semble relier les victimes, leur vie ni les circonstances de leur disparition. Rien, sinon une carte postale de Las Vegas, qu’ils ont tous reçue. Une carte postale avec une simple date… celle de leur mort…
[…]

Le style est net, épuré, il va à l’essentiel sans fioritures inutiles ; voire presque froid, avec très peu d’émotions. En tout cas, particulièrement efficace à mon goût.

L’intrigue est bien montée, avec des flashback pertinents et bien structurés qui participent largement à l’histoire sans obliger à des aller-retours cérébraux pour comprendre de qui on parle.

C’est le premier roman de cet auteur (2010), et je tenterai sûrement de lire le suivant…