Merci @jokili et @louvard de m’avoir donné envie de lire ce bouquin.

Il s’agit presque d’un huis-clos, vécu par le regard unique du narrateur : des images oppressantes, appuyées par le style très simple et très efficace que permet l’usage de la première personne.

Quand j’ai fermé le livre, je me suis dit : « Bon sang, et ça pourrait m’arriver… »