Ce serait certainement une lapalissade d’écrire que la fin d’un livre est son aboutissement. Mais Thilliez n’étant pas fan de lapalissades, il a écrit un livre qui est l’aboutissement de sa fin…

C’est bien simple : on le sent venir. On sait que ça va venir. On sait comment ça va venir. Mais jusqu’au bout, on ne le voit pas vraiment venir. Et c’est la fin, et on est quasiment obligé de relire le bouquin à la lumière de la fin pour savourer comme c’est bien fait…

Le jeu s’appelle Paranoïa, c’est écrit en 4 de couv. Devenez paranoïaques…