Ma copine me l’a prêté avec le commentaire : « Thilliez, c’est vraiment un grand malade. »

C’est clair. Que ce soit dans la qualité du scénario, qui vous emmène comme qui rigole de l’Institut Pasteur à une pandémie mondiale en frôlant les fonds abyssaux de la Fosse Marianne, ou bien dans la qualité des allers-retours émotionnels qu’il vous colle, c’est un grand malade…

Comme à l’habitude le style est direct, concis, efficace. Droit au but en permanence, il laisse peu de place pour reprendre haleine.

Et bien sûr, les histoires transversales sont elles mêmes des tragédies, donc le lecteur prend dans les tronche les douleurs, les peines et les joies (plus rares) de tout ce petit monde attachant…

Une vraie réussite…