La quatrième de couv’ n’est qu’éloges d’académiciens. Ça situe. Mais surtout, il m’a été offert par quelqu’un dont j’apprécie les goûts littéraires et qui connaît les miens. Ça situe encore mieux comme la barre était haute quand j’ai ouvert ce livre.

Eh bin y’a pas, c’est une performance. J’ai du mal à choisir par quel angle je vais commencer, tellement ce bouquin présente de facettes. Car il y a bien sûr l’Affaire Harry Quebert en elle-même, qui pourrait n’être qu’une banale affaire de police. Ou pas.

Car il y a la vie d’un écrivain. Ou deux.

Car il y a une enquête, avec un flic borné. Ou pas.

Car il y a un rebondissement par chapitre, jusqu’au dernier. Car c’est la leçon numéro 4.

Car il y a le style, les mots, …

Chérissez l’amour, Marcus. Faites-en votre plus belle conquête, votre seule ambition. Après les hommes, il y aura d’autres hommes. Après les livres, il y a d’autreslivres. Après la gloire, il y a d’autres gloires. Après l’argent, il y a encore l’argent. Mais après l’amour, Marcus, après l’amour, il n’y a plus que le sel des larmes.