La question n’est évidemment pas de savoir si le style est enlevé ou si l’intrigue se tient, mais plutôt de juger David Lagercrantz à l’aune de Stieg Larsson. Et ça le fait bien, on embarque cash dans une histoire qui mêle NSA, Intelligence Artificielle, meurtre et autisme…

J’ai quand même relevé que, y’a pas, un auteur suédois ne peut pas se passer de mentionner le temps qu’il fait… J’avais déjà noté ce trait chez Mankell.