Qu’est-ce que vous voulez commenter un Vargas… Le style est toujours aussi dynamique, malgré l’apathie apparente du commissaire Adamsberg. L’histoire se déroule toujours selon la même trame : tout le service est à la recherche d’un tueur pendant qu’Adamsberg bat la campagne de son côté et en déduit la conclusion de l’enquête. Dans « temps glaciaires », il va se baguenauder sur un îlot paumé d’Islande pour confondre un tueur de Robespierristes banlieusards. Si, si.

C’est un Vargas bon teint, quoi…