Avec une construction qui tient du tour de force, ce livre est un cocktail totalement addictif. Le Point

Je suis totalement d’accord avec le tour de force. L’auteur réussit l’exploit de réaliser un huis-clos dans la tête de Christine fondé, dans la totalité du roman, sur son amnésie totale et permanente, donc sur… rien ; le vide ; le blanc. Un vrai thriller avec des gentils et des méchants qui recommence chaque matin au même point.

Avec en plus un style qui frise la perfection pour cette histoire lente et étonnante, il a failli prendre la place de numéro deux dans mon palmarès, après « Meurtres pour rédemption » – Karine Giébel. Mais par comparaison, il lui manque la secousse, l’émotion énorme sur laquelle ce dernier m’avait laissé.

Traduit de l’anglais par Sophie Aslanides