Traduit de l’américain par Dominique Defert et Carole Delporte

Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard, se réveille en pleine nuit à l’hôpital.

Oh et puis zut, la 4° de couv va être aussi pédante que les 600 pages de l’oeuvre, vous la trouverez bien quelque part sur internet.

L’auteur réussit à caser une unique journée sur 600 pages. Et une journée bien remplie, je vous le dis. En terme de scénario, ça remue ! Et encore, il a fallu à Langdon 77 chapitres avant de comprendre que ses amis étaient ses ennemis et lycée de Versailles.

Et pour meubler, on a de longs passages pédants de culture, dont on finit par n’avoir plus rien à foutre tellement c’est tartiné épais.

Un Dan Brown dans la lignée.