Traduit de l’anglais (US) par Danièle Mazingarbe

Le résumé officiel me semble parfait pour tout dire… et ne rien dévoiler :

Lorsqu’un incendie ravage la bibliothèque de l’Abbaye de Ruac, dans le Périgord, un étrange manuscrit médiéval, dissimulé dans ses murs, est découvert. C’est la confession d’un moine, datée de 1307, l’année où, sur ordre de Philippe le Bel, les Templiers furent arrêtés et emprisonnés. En tentant de décoder les messages cachés dans ce texte, Hugo Pineau, restaurateur de livres anciens, et Luc Simard, archéologue, vont se rapprocher dangereusement du secret de cet ordre de chevaliers… et entrer ainsi dans un jeu qui va se révéler mortel.

Effectivement, l’intrigue se pose assez vite, les personnages trouvent rapidement une place -y compris certains qui relèvent du grand écart scénaristique et, en vérité, l’ossature de l’histoire se découvre d’autant plus vite que le dévoilement survient vers le milieu du bouquin. Reste ensuite une deuxième moitié dans laquelle moines, brigades spéciales de police et villageois peu avenants vont jouer un rôle non négligeable dans la vie de Hugo et Luc…

J’ai un peu moins goûté ce troisième livre de l’auteur que son premier (ref(‘blog/2013-11-06-le-livre-des-morts-glenn-cooper »>). Mais je me suis quand même couché à des heures indues tant je souhaitais en connaître l’épilogue !