Un Werber assez conforme à tout ce que j’ai déjà lu de cet auteur : tourné sur l’avenir, le futur du monde et de l’humanité ; une histoire guère palpitante, mais écrite dans un style original, différent (ici, un monologue intérieur qui accompagne l’ensemble du livre) ; et une fin en eau de boudin qui, à l’exception de la question posée, n’apporte aucun élément de réflexion utile.

Pour aller plus loin, l’auteur remercie Boris Cyrulnik à la fin du texte. Encore heureux qu’il le remercie : durant plusieurs pages, Werber expose une théorie qui est directement reprise de « Sous le signe du lien » !

Selon moi, Werber est un auteur qui n’est jamais désagréable à lire, qui pose des questions intéressantes mais qui est souvent décevant dans sa façon de les traiter.