Pourquoi « 1/2 » dans le titre de ce billet ? Non parce que cet article est le premier d’une série, mais parce que je ne commente que les premiers 50% du bouquin. Car je n’ai pas l’intention de le finir, et que je l’ai rendu à la personne qui me l’a prêté.

Ce livre m’a déstabilisé. J’ai arrêté de le lire au moment ou j’ai commencé à me demander si c’est moi qui suis trop con, ou si c’est lui. Lui, LE personnage du bouquin, Ignatius Reilly. Je ne peux même pas le décrire ici, tellement j’aurais l’impression de passer pour un cinglé.

Ce n’est pas que ça ne m’a pas plu. C’est juste que sa folie et la mienne ne sont pas compatibles.

Au point que, pour la petite histoire, il semblerait que l’auteur ait été publié post-mortem : il s’était suicidé parce qu’il ne trouvait pas d’éditeur… Ça situe à quoi on s’attaque…