Voilà un bouquin qui m’a laissé tellement perplexe que je ne sais par quel bout en attaquer le commentaire…

Il m’a été prêté par un proche qui est Officier de Police Judiciaire, fana de culture policière (un peu comme l’un des personnages du roman, d’ailleurs) et qui a bossé dans certains des lieux évoqués dans le livre. Fondamentalement donc, je ne pouvais que prêter une attention particulière à l’oeuvre.

Au début, on a un peu l’impression d’avoir ouvert par erreur le Petit Larousse du Jargon Policier, tant sont nombreuses les traductions en bas de page d’un vocabulaire dont tout lecteur de roman policier français maîtrise une bonne part.

Et puis petit à petit, on se laisse emmener dans l’enquête, captiver par les personnages. Non que le scénario soit particulièrement redoutable, il serait même plutôt d’un classicisme émoussé…

Émoussé mais efficace, car la lecture du mot « Fin » m’a vraiment laissé comme deux ronds de flan… déjà fini !?

Voici l’introduction de la quatrième :
« Véritable immersion au coeur du 36, qui des Orfèvres. Une enquête en forme d’hommage à Georges Simenon où l’auteur nous mène de moments de doute en moments de tension. »