Trois semaines pour lire 409 pages, on peut certes considérer que je manquais de motivation, mais peut-être l’oeuvre ne me motivait-elle guère ?

De fait, l’histoire est lente, très lente. L’enquête piétine quasiment jusqu’au bout, les états d’âme des policiers du fin fond de la cambrousse suédoise présentent assez peu d’intérêt, et au final on ne sait pas trop si la ligne thématique porte sur le néo-nazisme ou sur la maladie et la mort.

Voilà un bouquin qui ne stationnera pas dans ma bibliothèque…