Ce bouquin n’est pas comparable à son grand frère « Meurtres pour rédemption » que j’ai commenté il y a quelques jours. Mais c’est la même auteure, indiscutablement. Avec un petit truc en plus -deux histoires qui s’enchevêtrent, qui s’entortillent l’une à l’autre. Un peu plus long à démarrer, aussi, mais il n’y a aucun doute, celui-ci délivre également sa dose d’émotions. Et une fin… encore une fin qui laisse un peu sonné.

Allez, un tout petit extrait de chaque histoire.

Avec un principe de base, auquel il n’a jamais dérogé : pas de femme, pas d’enfant. Uniquement des hommes valides, dans la force de l’âge.
Ça aurait gâché le plaisir, autrement.
Le monde est ainsi fait, qui ne changera jamais.
Les chasseurs d’un côté, les proies de l’autre.

Ils te feront disparaître et personne, jamais, ne saura ce que tu es devenue.
Quoi de pire que l’incertitude ?
Quoi de pire que de ne même pas avoir un lieu pour se recueillir ?
Quoi de pire que de se demander, depuis deux longues années : pourquoi tu es parti ?
Pourquoi m’as-tu abandonnée ?